Pour une démonnératisation du monde par la nature
Notre objectif tend vers la gratuité de la vie en construisant une société artisanale, première réensauvagée et camp-volante (nomade) grâce à l’autosuffisance sauvage et au visage-pâlisme. Cependant nous ne sommes pas rigoristes, nous cherchons en quelques sorte une complémentarité avec les bienfaits que la civilisation nous a apportés.




Un mouvement féraliste
Fédérer les passionnés de nature pour retrouver une société équilibrée, "qui retrouve sa place au sein de l'écosystème" (Kim Pasche, gens-des-bois.org) artisanale, première, réensauvagée, gratuite, camp-volante (nomade) et respectueuse des racines humaines et de l'environnement tout en gardant en tête une certaine forme de complémentarité avec les bienfaits que la civilisation nous a apportés.
Les Humbles
Forageurs (ceux qui recherchent leur nourriture dans la nature)
Retrouver nos âmes de forageurs.
État sauvage
Encourager un mode de vie féral pour une existence harmonieuse avec la nature et l'environnement pour construire à terme une société gratuite et nomade, "qui retrouve sa place au sein de l'écosystème" (Kim Pasche), en complémentarité avec notre société actuelle.
Rejoignez notre mouvement pour construire une société pérenne et solidaire, "qui retrouve sa place au sein de l'écosystème" (Kim Pasche) fondée sur des valeurs ancestrales.
Parti Féraliste
Revivre par la nature, revivre au rythme des saisons, pour une société autosuffisante, artisanale, s'inspirant des sociétés premières actuelles et passées, réensauvagée, gratuite et nomade. (camp-volante)
Un mouvement s’inspirant des sociétés premières de chasseurs/cueilleurs actuelles et passées, pour tendre vers une société pérenne, "qui retrouve sa place au sein de l'écosystème" (Kim Pasche, gens-des-bois.org), artisanale, première, réensauvagée, autosuffisante, gratuite et nomade. (camp-volante = camp saisonnier) en complémentarité avec ce que notre monde moderne nous a apporté de bien.




Nous croyons fermemement que nous devons revivre par la nature par les primos-subsistances que sont la chasse, la pêche, la cueillette, la trap, l’agriculture vivrière, l’élevage vivrier, le troc voir le petit commerce artisanal pour tendre vers la gratuité de la vie ou tout du moins tendre vers une société nettement moins dépendante de l’argent, et ce en adoptant un mode de vie mobile car nous pensons que la liberté de mouvement fait partie d’un besoin essentiel et naturel de l’homme et que malheureusement l’agriculture tel que nous la connaissons est incompatible avec ce genre de vie. Faire usage extensif de l'espace par le régime de chasse/cueillette en utilisant par exemple le canot ou les chevaux, en somme redevenir des aventureux. A l'inverse l'agriculture à un usage intensif de l'espace, raison pour laquelle nous sommes sédentaires et ce que nous souhaitons moins, tout en admettant une certaine complémentarité avec ce que cette dernière nous a apportée comme acquis. Nous disons non ! Au tout agricole, au tout écologique (le développement dit "durable" que prône l'écologie est en soi une contradiction et une tromperie, c'est faire la même chose en déguisé, changer la forme mais pas le fond du problème), non au tout sédentaire, non au tout monnayable, non au tout industriel, non au tout technologique et artificiel, non au tout numérique et nous pensons que les pratiques ancestrales liées à la nature sauvage peuvent nous aider pour ça. Oui au savoir-faire soi-même !
Pour la création d’un ministère de la féralité
Pour nous, la féralité n'est pas une régression décadente mais un juste retour des choses, "une manière de faire en sorte que notre société retrouve enfin sa place au sein de l'écosystème" (Kim Pasche, trappeur) ni que la modernité est une fin en soi. Nous souhaitons nous préparer si notre civilisation venait à décliner fortement tel qu'on la connait. Nous souhaitons anticiper et accompagner une mutation si mutation il y a, face au déclin possible ou pas de notre société. Nous préparer à un retour envisageable d'une société décomplexifiée, plus simple, peut-être de nouveau artisanale et première, et imaginer alors un modèle de société auto-subsistance grâce aux ressources sauvages vivrières, nomade dont la finalité serait sa démonnétarisation complète à plus ou moins long terme, tout en conservant le plus longtemps possible un état fort, face aux menaces extérieures, le temps de la réadaptation. Voilà ce que serait le rôle de ce ministère.
"Retrouver les traces de nos ancêtres, relever des pans de culture, réveiller la mémoire oubliée de ce qui était nécessaire à la vie à cette époque d'avant l'agriculture. Reprendre racine par la branche même que nous avons coupée." Vianney Clavreul, Le manuel de la Vie buissonnière.
"Partout où il y a encore des peuples-racines, ces derniers vivent dans une ambiance bien moins anxiogène que nous, n'ont à fournir que trois-quartes heures de travail journalier pour combler leurs besoins vitaux...notre façon moderne de vivre est de loin la plus dure et la plus dangereuse que les hommes aient inventé, de loin !" Kim Pasche, trappeur, gens-des-bois.org. Selon lui, le monde moderne est une machine à tuer la diversité, qu'elle soit biologique ou culturelle. Ce que nous partageons.